Ça y est, comme nous nous y étions engagés nous allons tenir des conseils de cantons d’ici la fin de l’année. Ces moments d’échanges et de construction vont nous aider à être offensifs et force de propositions. Nous allons nous appuyer sur les cahiers de doléances et d’intervention citoyenne. Ils se déclinent à la fois sur ce que nous avons porté dans la campagne
Le groupe Communistes et Partenaires au Conseil Départemental se félicite du recul du gouvernement concernant le mode de calcul de l’AAH.
En proposant que les revenus des livrets A et de livrets d’épargne soient pris en compte dans le montant de l’attribution de l’AAH (Allocation Adulte Handicapé), au nom des économies à réaliser pour maintenir l’équilibre budgétaire de la Sécurité Sociale, le gouvernement s’attaquait une fois de plus aux plus modestes.
Cette proposition revenait à demander aux plus précaires d’être solidaires pour compenser les exonérations de charges allouées par le Pacte de Responsabilité qui ont bénéficié pour l’essentiel aux actionnaires du CAC 40.
Dans notre département 29 000 personnes – chiffres 2013 – sont concernées par cette allocation, une allocation qui leur assure tout juste de quoi vivre dignement.
Cependant, une question se pose encore : comment un gouvernement qui se prévaut de valeurs de progrès a-t-il pu imaginer faire ainsi main basse sur les revenus des adultes handicapés qui leur assurent aujourd’hui tout juste de quoi survivre ?
L’indécence de cette mesure s’ajoutant au non-rétablissement de la demi-part dite « des veuves », supprimée par Nicolas Sarkozy, aux menaces sur l’APL pour les étudiants, a poussé le gouvernement à reculer et c’est tant mieux !
Il est temps de prendre des mesures pérennes en matière de fiscalité afin que les plus modestes ne se retrouvent pas dans la même situation en 2017 et de mettre en route une véritable réforme de la fiscalité permettant plus d’équité.
Marseille, 4 novembre 2015
Port de Bouc, Salle Gagarine, 29 octobre 2015. Evelyne Santoru-Joly et Gérard Frau, Conseillers Départementaux, lancent le tout premier Conseil du Canton de Martigues et le Cahier de Doléances.
Un article paru dans La Provence à la suite du tout premier Conseil du Canton de Martigues, le 29 octobre. Evelyne Santoru-Joly et Gérard Frau, Conseillers Départementaux, lancent le « cahier de doléances pour le canton »
Madame la Présidente, Cher-e collègue,
Mesdames, Messieurs,
Plus de 6 mois après l’installation du nouveau Conseil Départemental, nous voilà confrontés à des questions majeures ! L’effet de ciseau s’accélère !
Comment pourrait-il en être autrement avec la baisse des dotations de l’Etat, et la croissance des besoins sociaux.
Dans le même temps, nous sommes en pleine réorganisation territoriale avec la Métropole, et les incertitudes quant au devenir de notre collectivité. Cela pèse sur nos choix.
Madame la Présidente, Cher-e collègue, Mesdames, Messieurs, Ce rapport me donne l’occasion de revenir sur une idée que se font nos concitoyens, une idée ancrée, qui persiste et s’accentue. Je veux parler du discrédit qui pèse sur la politique en général et sur l’ensemble des élu(e)s en particulier. Nous serions tous et toutes des profiteurs, qui ne voulons lâcher notre place pour rien au
Madame la Présidente, Cher-e collègue,
Mesdames, Messieurs,
Permettez-moi d’intervenir sur les 4 rapports à venir (4-5-6-7).
En effet, d’une manière générale ils concernent tous de près ou loin la situation des agents de notre collectivité. […]
Comme ils s’y sont engagés , jeudi 29 octobre se tient le premier Conseil de Canton de Martigues à Port de Bouc, le journal la Marseillaise les a questionné. […]
Madame la Ministre,
Je me permets au nom du groupe Communistes et Partenaires du Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône de vous alerter sur la situation financière du Grand Conseil de la Mutualité dans notre département. […]
Mesdames, Messieurs, che-res ami-es, Il vient de se passer 6 mois depuis notre élection au Conseil Départemental. 6 mois, d’engagement pour faire valoir les droits des habitants et des territoires de notre département. 6 mois, à travailler à vos côtés pour faire entendre la voix de notre canton et de ses salariés. 6 mois, de rencontres et de visites afin de mieux vous connaitre