Cette journée de commémoration est indispensable au travail de mémoire d’abord à l’égard des victimes de cette barbarie comme à l’encontre d’un système de domination et d’exploitation dont la France fut, dans son histoire, un des piliers avec la traite négrière et la colonisation.
Il y a encore beaucoup à gagner au partage de cette histoire et le travail de coopération avec les peuples  du continent africain doivent être mutuellement avantageux. Marseille, le département des Bouches du Rhône tournés vers la méditerranée doivent prendre des initiatives dans ce sens. Nous avons le devoir de travailler à des rapports entre les peuples qui s’appuient sur le respect, l’écoute la solidarité et non sur des dominations.
Dans une période où haines et racisme sont attisés par ceux qui veulent que rien ne change, dans un monde où l’exploitation humaine a toujours cours au nom du profit, il est nécessaire de rappeler tous les moments, les actions qui participent à construire des solidarités et luttent contre toutes les dominations !